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 L'UPF et les européennes

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El Caganer
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Christof.
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Christof.


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MessageSujet: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeMar 25 Mar 2008 - 13:21

Rappel du premier message :

Une élection chasse l’autre et c'est avec détermination et enthousiasme que l'UPF se lance dès aujourd'hui dans la campagne des élections européennes.

Un peu plus d'un an nous sépare de ce scrutin mais ce délai ne sera pas de trop pour préparer et réussir cette échéance.
Car elle doit être celle de la revanche du peuple français et de son NON volé par ses représentants.
Car elle doit être celle de la preuve qu'une autre Europe est possible et souhaitée par nos compatriotes.

Si ce scrutin nous est favorable car s'effectuant par listes à la représentation proportionnelle, en un seul tour, dans le cadre de huit circonscriptions régionales, il ne faut pas oublier que pour participer à la répartition des sièges, une liste doit obtenir au minimum 5% des suffrages exprimés.

Il est donc impératif que l'UPF et les mouvements républicains et souverainistes (MRC, DLR, RIF, VLR, Comité Valmy, RCR, Voltaire République et j'en passe...) aillent ensemble au combat et non en ordre dispersé.

Il ne suffit pas de le dire, il faut le faire.

C'est pourquoi l'UPF, libre et indépendant, ouvert aux sensibilités des "deux rives", est conduit tout naturellement à être la cheville ouvrière de ce rassemblement.
Dans cette optique, notre mouvement organise dès ce week-end une première réunion informelle dans la région lyonnaise avec des représentants des mouvements précités.

Puissent les dirigeants nationaux de ces structures saisir tout l'intérêt de la démarche et y répondre favorablement.
La réussite de nos idées est à ce prix.
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Cerberux76
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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeMer 8 Avr 2009 - 23:51

Christof. a écrit:
La situation étant celle qu'elle est, le moment est venu de vous faire connaître la position officielle de l'UPF, arrêtée lors de son dernier Conseil National, vis à vis des élections européennes :

Pourquoi nous avons décidé de boycotter l’Europe !


Il y a maintenant un peu plus d'un an, nous fûmes les premiers à appeler à l’union de tous les souverainistes et de tous les gaullistes en vue des élections européennes du mois de juin 2009.

L’occasion devait être saisie de partir rassemblés à la bataille électorale ; de faire entendre une voix forte et déterminée contre la politique européenne du président de la République et de son gouvernement ; de ranimer le refus de toute construction supranationale tel qu’il s’est fait entendre le 29 mai 2005 lors du référendum sur la constitution européenne.
Face aux dangers du renoncement et aux sirènes du mondialisme, le rassemblement de tous les patriotes attachés à l’indépendance nationale et à un modèle économique et social protecteur et participatif devait être encouragé.

Il fallait utiliser cette élection comme le porte-voix d’un souverainisme bien décidé à faire entendre sa différence. Il n’était pas question de faire croire aux électeurs que l’élection de députés européens français pourrait changer la face de l’Europe, ni d’encourager les ambitions de quelques uns ou d’assurer la carrière de sortants, mais seulement de faire passer un message de vigilance face aux remises en cause de la souveraineté nationale en rappelant aux gouvernants qu’il ne saurait être question de revenir sur l’expression d’un choix populaire.

Pour remporter la victoire et obtenir un succès manifeste, tel que celui acquis aux élections de 1999, la condition sine qua non était bien évidemment le rassemblement. Cette évidence se trouve renforcée par l’absence d’un ou de plusieurs leaders incontestés du souverainisme. Ces derniers sont aujourd’hui en marge ou en retrait de la vie politique nationale et aucun des représentants actuels ne peut se targuer d’avoir la carrure ou l’aura de ses glorieux aînés. Est-ce pour cela que la division règne aujourd’hui au sein de notre famille politique ? Force est de constater, et cela ne devrait vexer personne, qu’il n'y a plus d’Hommes d’Etat digne de ce nom dans nos rangs.

Le moins que l’on puisse dire est que les arrières pensées et les calculs égoïstes ont pollué l’ambiance de la précampagne électorale. Nous savons qu’aucune alliance n’est aujourd’hui plus possible entre les deux ou trois petits leaders qui ont la prétention de vouloir incarner notre camp. Trop de haines sous-jacentes, d’incompréhensions affichées, de sectarismes déplacés sont à l’œuvre. Les petits chefs du souverainisme ne nous aurons rien épargné durant cette période jusqu’aux manœuvres désespérées, dénonciations calomnieuses contre les alliés d’hier, coups de bluff sans lendemain et farce à la limite du grotesque.

Il convient dès lors de tirer les conclusions de cette situation si défavorable à notre famille politique et de l’image qu’elle renvoie auprès de l’opinion publique.

Il est primordial que nous cessions de faire plus longtemps l'étalage de nos faiblesses et divisions, ce qui nuit inéluctablement au formidable élan qui avait permis de rejeter la constitution européenne en 2005. Ce coup d’arrêt, bien réel, est encore présent dans tous les esprits et restera comme le symbole de l’attachement des Français à l’indépendance nationale. Il n'est pas acceptable qu’une déroute électorale vienne ternir un précédent à notre avantage et permette aux eurocrates de crier victoire. Lorsque c’est la France qui est en cause, nous ne saurions laisser quelques baladins et autres ludions parasiter le message de l’Europe des nations et de la souveraineté nationale. Ce serait offrir une revanche inespérée à une classe politique qui fut largement battue lors du référendum de 2005.

Par ailleurs, l’élection européenne a comme premier objet le renouvellement du Parlement européen. Or, cette institution, instrument de la supranationalité et de l’abaissement des Parlements nationaux, est pour nous entachée d’illégitimité et d'inefficacité.

Plus jusqu’au-boutiste que Bruxelles dans ses choix paneuropéens, le Parlement de Strasbourg est, depuis sa création, un ennemi déclaré des souverainetés et de l’indépendance des nations. Sa représentativité démocratique est quasi nulle, le système majoritaire n’y étant qu’embryonnaire et en aucun cas le fruit du choix explicite d’un pseudo peuple européen. Ainsi, le mode de découpage électoral en "super-régions" ne correspond à aucune réalité historique ou politique, en France tout du moins.

Enfin, l’Europe a montré ses limites, flagrantes, depuis le début de la crise économique et financière mondiale. En aucun cas, elle n’a contribuée à nous protéger. Bien au contraire, véritable cheval de Troie du libre échangisme, elle a favorisé la crise, la rendant encore plus douloureuse.

Au final, cette élection européenne semble profondément illégitime.
Elle ne concerne ni la France ni ses citoyens. Les gaullistes n’ont, par ailleurs, aucun intérêt à y participer eu égard à ce qui fut développé précédemment.
Cette élection n'intéresse finalement que le petit club des européistes et des eurobéats qui ont même aménagé le scrutin afin qu’il leur soit le plus profitable possible.

Pour toutes ces raisons, l’Union du Peuple Français a décidé d’appeler à un boycott actif des élections de juin prochain.

Il ne s’agira pas seulement de bouder ce scrutin mais plus largement de dissuader les Français, autant qu’il est possible légalement, d’aller voter pour cette Europe qui nuit gravement à la France et à ses intérêts. Il n’est pas question ici de contribuer à l'incivisme ou à la bonne santé politique du parti « des pécheurs à la ligne », mais de poser la seule alternative possible : pour ou contre l’Europe supranationale que l’on cherche à nous imposer.

Un boycott massif aura alors le même impact que le NON de 2005 contre la constitution européenne. Il sera à interpréter comme le rejet de toute entité destructrice des Nations et de leur identité.

Nous appelons donc à une grève du vote des Français pour signifier à ceux qui nous gouvernent qu’ils font fausse route. Nous ne supportons plus que cette élite méprise et ignore le peuple à ce point. Ils nous ignorent, ignorons les !
L’essentiel de nos forces ainsi préservées pour les élections nationales, celles-ci consacreront l’union la plus large possible de tous les patriotes pour construire et restaurer la France que nous voulons !

C'est pourquoi, nous, gaullistes, engageons dès à présent le boycott des élections du 7 juin 2009 et prendrons dans les tous prochains jours des initiatives pour faire de notre décision un moment fort de notre combat politique.

Vive la République et vive la France.

C'est, à ce jour, la meilleure décision qu'ait pu prendre l'UPF.
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dadoun

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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeJeu 9 Avr 2009 - 9:07


Désolé mais, malheureusement, les députés européens ont maintenant plus de pouvoir que nos élus nationaux. Depuis quelques années déjà, les directives européennes priment et font force de loi sur les normes nationales Wink.

L'argent est peut-être le nerf de la guerre mais pour recevoir des subventions il faut aussi savoir aller au front au plan national ou aux européennes. Si l'on reste au niveau local, je suis d'accord, il n'y aura pas d'argent pour vous Wink.

*** Modéré - Hors sujet ***

Cerberux76 a écrit:
C'est, à ce jour, la meilleure décision qu'ait pu prendre l'UPF.

Non, car l'UPF aurait pu, à ce moment là, demander aux gaullistes de voter blanc Wink
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Christof.
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MessageSujet: Boycott   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeJeu 9 Avr 2009 - 10:07

dadoun a écrit:
Membre de l'UPF, je vous aurais bien apporté mon soutien à ce boycott, mais je ne peux pas en tant que gaulliste vous suivre dans cette voie.

Jusqu'au bout le Général a mené tous les combats et n'a pas eu peur des défaites.

Alors, même si vous étiez seuls, vous auriez du y aller.
Le boycott est pas digne de vous.

Dommage de donner ainsi l'image de révolutionnaires anti-démocrates, alors que je suis sûr et certain que Sébastien et Christophe ne le sont pas.

Seuls les idiots ne changent pas d'avis, alors réfléchissez.

Sinon, je crois que s'il n'y a que DLR, et bien DLR aura les bulletins des gaullistes Embarassed

Venir parler du Général, l'homme de la chaise vide ; l'homme du refus de la supranationalité en même temps que des élections européennes a toujours eu pour moi quelque chose de paradoxal !

Je tiens cependant à rappeler que ce combat, nous avons été les premiers à le mener, dans l'unité et dans le rassemblement, conditions incontournables, non pas d'un succès comme vous pourriez le penser, mais uniquement du simple engagement électoral (et c’est déja beaucoup) !

Nous n'avons été ni écoutés, ni suivis, notamment par le mouvement que vous citez.

Aujourd'hui, il porte, comme d'autres, la responsabilité de la division de notre camp et tous devront en répondre (notamment quand ils quitteront piteusement la scéne pour ne plus revenir) devant les gaullistes et républicains sincères qui croient encore, comme vous, à la permanence de nos valeurs dans le paysage politique français.

Enfin, contrairement à ce que vous indiquez, nous ne serons pas absents du débat européen qui, pourtant, peine à s'engager et n'interesse ni les médias, ni les Français.

Actifs et impliqués, l'UPF développera sa propre ligne gaulliste et républicaine en usant d'un véritable (et du seul) moyen de pression qui a toujours effrayé les élites, politiques comme économiques.

dadoun a écrit:
Non, car l'UPF aurait pu, à ce moment là, demander aux gaullistes de voter blanc Wink

Le boycott est une arme politique !

Qui a oublié le boycott des bus de Montgomery en 1955 à l'appel de Martin Luther King ? qui ne se souvient pas du boycott politique et sportif de l'Afrique du Sud contre l'apartheid ?

Un appel au boycott a beaucoup plus d’impact qu’on vous ne le croyez.
Les Chinois n'ont-il pas tout fait pour que leur cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques en août dernier ne soit pas boycottée ?!

Notre action, si elle est suivie, peut être la goutte d’eau qui va définitivement déstabiliser une Europe technocratique déjà en difficulté après les NON français et hollandais de 2005 et le refus irlandais du traité de Lisbonne l'an dernier.

Si les Français veulent faire respecter et entendre leur choix, la seule solution est aujourd'hui celle de l'UPF !

Un vote nul massif, doublé d'un taux d’abstention record, sera plus qu’un boycott, il signifiera un blocage des institutions européennes et que l’écrasante majorité des électeurs Français a décrété, en son âme et conscience, qu’elle se refusait à cautionner la reproduction du système européiste que l'on cherche à lui imposer.
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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeJeu 9 Avr 2009 - 17:42

Christof. a écrit:
La situation étant celle qu'elle est, le moment est venu de vous faire connaître la position officielle de l'UPF, arrêtée lors de son dernier Conseil National, vis à vis des élections européennes :

Pourquoi nous avons décidé de boycotter l’Europe !


Il y a maintenant un peu plus d'un an, nous fûmes les premiers à appeler à l’union de tous les souverainistes et de tous les gaullistes en vue des élections européennes du mois de juin 2009.

L’occasion devait être saisie de partir rassemblés à la bataille électorale ; de faire entendre une voix forte et déterminée contre la politique européenne du président de la République et de son gouvernement ; de ranimer le refus de toute construction supranationale tel qu’il s’est fait entendre le 29 mai 2005 lors du référendum sur la constitution européenne.
Face aux dangers du renoncement et aux sirènes du mondialisme, le rassemblement de tous les patriotes attachés à l’indépendance nationale et à un modèle économique et social protecteur et participatif devait être encouragé.

Il fallait utiliser cette élection comme le porte-voix d’un souverainisme bien décidé à faire entendre sa différence. Il n’était pas question de faire croire aux électeurs que l’élection de députés européens français pourrait changer la face de l’Europe, ni d’encourager les ambitions de quelques uns ou d’assurer la carrière de sortants, mais seulement de faire passer un message de vigilance face aux remises en cause de la souveraineté nationale en rappelant aux gouvernants qu’il ne saurait être question de revenir sur l’expression d’un choix populaire.

Pour remporter la victoire et obtenir un succès manifeste, tel que celui acquis aux élections de 1999, la condition sine qua non était bien évidemment le rassemblement. Cette évidence se trouve renforcée par l’absence d’un ou de plusieurs leaders incontestés du souverainisme. Ces derniers sont aujourd’hui en marge ou en retrait de la vie politique nationale et aucun des représentants actuels ne peut se targuer d’avoir la carrure ou l’aura de ses glorieux aînés. Est-ce pour cela que la division règne aujourd’hui au sein de notre famille politique ? Force est de constater, et cela ne devrait vexer personne, qu’il n'y a plus d’Hommes d’Etat digne de ce nom dans nos rangs.

Le moins que l’on puisse dire est que les arrières pensées et les calculs égoïstes ont pollué l’ambiance de la précampagne électorale. Nous savons qu’aucune alliance n’est aujourd’hui plus possible entre les deux ou trois petits leaders qui ont la prétention de vouloir incarner notre camp. Trop de haines sous-jacentes, d’incompréhensions affichées, de sectarismes déplacés sont à l’œuvre. Les petits chefs du souverainisme ne nous aurons rien épargné durant cette période jusqu’aux manœuvres désespérées, dénonciations calomnieuses contre les alliés d’hier, coups de bluff sans lendemain et farce à la limite du grotesque.

Il convient dès lors de tirer les conclusions de cette situation si défavorable à notre famille politique et de l’image qu’elle renvoie auprès de l’opinion publique.

Il est primordial que nous cessions de faire plus longtemps l'étalage de nos faiblesses et divisions, ce qui nuit inéluctablement au formidable élan qui avait permis de rejeter la constitution européenne en 2005. Ce coup d’arrêt, bien réel, est encore présent dans tous les esprits et restera comme le symbole de l’attachement des Français à l’indépendance nationale. Il n'est pas acceptable qu’une déroute électorale vienne ternir un précédent à notre avantage et permette aux eurocrates de crier victoire. Lorsque c’est la France qui est en cause, nous ne saurions laisser quelques baladins et autres ludions parasiter le message de l’Europe des nations et de la souveraineté nationale. Ce serait offrir une revanche inespérée à une classe politique qui fut largement battue lors du référendum de 2005.

Par ailleurs, l’élection européenne a comme premier objet le renouvellement du Parlement européen. Or, cette institution, instrument de la supranationalité et de l’abaissement des Parlements nationaux, est pour nous entachée d’illégitimité et d'inefficacité.

Plus jusqu’au-boutiste que Bruxelles dans ses choix paneuropéens, le Parlement de Strasbourg est, depuis sa création, un ennemi déclaré des souverainetés et de l’indépendance des nations. Sa représentativité démocratique est quasi nulle, le système majoritaire n’y étant qu’embryonnaire et en aucun cas le fruit du choix explicite d’un pseudo peuple européen. Ainsi, le mode de découpage électoral en "super-régions" ne correspond à aucune réalité historique ou politique, en France tout du moins.

Enfin, l’Europe a montré ses limites, flagrantes, depuis le début de la crise économique et financière mondiale. En aucun cas, elle n’a contribuée à nous protéger. Bien au contraire, véritable cheval de Troie du libre échangisme, elle a favorisé la crise, la rendant encore plus douloureuse.

Au final, cette élection européenne semble profondément illégitime.
Elle ne concerne ni la France ni ses citoyens. Les gaullistes n’ont, par ailleurs, aucun intérêt à y participer eu égard à ce qui fut développé précédemment.
Cette élection n'intéresse finalement que le petit club des européistes et des eurobéats qui ont même aménagé le scrutin afin qu’il leur soit le plus profitable possible.

Pour toutes ces raisons, l’Union du Peuple Français a décidé d’appeler à un boycott actif des élections de juin prochain.

Il ne s’agira pas seulement de bouder ce scrutin mais plus largement de dissuader les Français, autant qu’il est possible légalement, d’aller voter pour cette Europe qui nuit gravement à la France et à ses intérêts. Il n’est pas question ici de contribuer à l'incivisme ou à la bonne santé politique du parti « des pécheurs à la ligne », mais de poser la seule alternative possible : pour ou contre l’Europe supranationale que l’on cherche à nous imposer.

Un boycott massif aura alors le même impact que le NON de 2005 contre la constitution européenne. Il sera à interpréter comme le rejet de toute entité destructrice des Nations et de leur identité.

Nous appelons donc à une grève du vote des Français pour signifier à ceux qui nous gouvernent qu’ils font fausse route. Nous ne supportons plus que cette élite méprise et ignore le peuple à ce point. Ils nous ignorent, ignorons les !
L’essentiel de nos forces ainsi préservées pour les élections nationales, celles-ci consacreront l’union la plus large possible de tous les patriotes pour construire et restaurer la France que nous voulons !

C'est pourquoi, nous, gaullistes, engageons dès à présent le boycott des élections du 7 juin 2009 et prendrons dans les tous prochains jours des initiatives pour faire de notre décision un moment fort de notre combat politique.

Vive la République et vive la France.

Malgré l'aspect politicien des arguments, je comprends la décision de l'UPF.

Pas de fonds suffisants, aucune union politique pour ces échéances... la bataille de 2009 est malheureusement perdue d'avance pour les souverainistes... en attendant les régionales de 2010 !

A mon avis, il faut donc que l'UPF mette à profit le temps et l'energie économisés par la non-participation aux européennes pour se mettre en ordre de bataille pour 2010.

Pour ma part, en tant que citoyen indépendant, j'irai tout de même voter en juin 2009.
Je ne peux seulement voter que depuis un peu plus d'un an, j'ai l'intention d'en profiter Wink
Et dans la mesure où il ya un parti, DLR (qui plus est, soutenu par France Bonapartiste), qui se rapproche assez de mes convictions...
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18 Juin




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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeJeu 9 Avr 2009 - 22:40

Christof. a écrit:
La situation étant celle qu'elle est, le moment est venu de vous faire connaître la position officielle de l'UPF, arrêtée lors de son dernier Conseil National, vis à vis des élections européennes :

Pourquoi nous avons décidé de boycotter l’Europe !


Il y a maintenant un peu plus d'un an, nous fûmes les premiers à appeler à l’union de tous les souverainistes et de tous les gaullistes en vue des élections européennes du mois de juin 2009.

L’occasion devait être saisie de partir rassemblés à la bataille électorale ; de faire entendre une voix forte et déterminée contre la politique européenne du président de la République et de son gouvernement ; de ranimer le refus de toute construction supranationale tel qu’il s’est fait entendre le 29 mai 2005 lors du référendum sur la constitution européenne.
Face aux dangers du renoncement et aux sirènes du mondialisme, le rassemblement de tous les patriotes attachés à l’indépendance nationale et à un modèle économique et social protecteur et participatif devait être encouragé.

Il fallait utiliser cette élection comme le porte-voix d’un souverainisme bien décidé à faire entendre sa différence. Il n’était pas question de faire croire aux électeurs que l’élection de députés européens français pourrait changer la face de l’Europe, ni d’encourager les ambitions de quelques uns ou d’assurer la carrière de sortants, mais seulement de faire passer un message de vigilance face aux remises en cause de la souveraineté nationale en rappelant aux gouvernants qu’il ne saurait être question de revenir sur l’expression d’un choix populaire.

Pour remporter la victoire et obtenir un succès manifeste, tel que celui acquis aux élections de 1999, la condition sine qua non était bien évidemment le rassemblement. Cette évidence se trouve renforcée par l’absence d’un ou de plusieurs leaders incontestés du souverainisme. Ces derniers sont aujourd’hui en marge ou en retrait de la vie politique nationale et aucun des représentants actuels ne peut se targuer d’avoir la carrure ou l’aura de ses glorieux aînés. Est-ce pour cela que la division règne aujourd’hui au sein de notre famille politique ? Force est de constater, et cela ne devrait vexer personne, qu’il n'y a plus d’Hommes d’Etat digne de ce nom dans nos rangs.

Le moins que l’on puisse dire est que les arrières pensées et les calculs égoïstes ont pollué l’ambiance de la précampagne électorale. Nous savons qu’aucune alliance n’est aujourd’hui plus possible entre les deux ou trois petits leaders qui ont la prétention de vouloir incarner notre camp. Trop de haines sous-jacentes, d’incompréhensions affichées, de sectarismes déplacés sont à l’œuvre. Les petits chefs du souverainisme ne nous aurons rien épargné durant cette période jusqu’aux manœuvres désespérées, dénonciations calomnieuses contre les alliés d’hier, coups de bluff sans lendemain et farce à la limite du grotesque.

Il convient dès lors de tirer les conclusions de cette situation si défavorable à notre famille politique et de l’image qu’elle renvoie auprès de l’opinion publique.

Il est primordial que nous cessions de faire plus longtemps l'étalage de nos faiblesses et divisions, ce qui nuit inéluctablement au formidable élan qui avait permis de rejeter la constitution européenne en 2005. Ce coup d’arrêt, bien réel, est encore présent dans tous les esprits et restera comme le symbole de l’attachement des Français à l’indépendance nationale. Il n'est pas acceptable qu’une déroute électorale vienne ternir un précédent à notre avantage et permette aux eurocrates de crier victoire. Lorsque c’est la France qui est en cause, nous ne saurions laisser quelques baladins et autres ludions parasiter le message de l’Europe des nations et de la souveraineté nationale. Ce serait offrir une revanche inespérée à une classe politique qui fut largement battue lors du référendum de 2005.

Par ailleurs, l’élection européenne a comme premier objet le renouvellement du Parlement européen. Or, cette institution, instrument de la supranationalité et de l’abaissement des Parlements nationaux, est pour nous entachée d’illégitimité et d'inefficacité.

Plus jusqu’au-boutiste que Bruxelles dans ses choix paneuropéens, le Parlement de Strasbourg est, depuis sa création, un ennemi déclaré des souverainetés et de l’indépendance des nations. Sa représentativité démocratique est quasi nulle, le système majoritaire n’y étant qu’embryonnaire et en aucun cas le fruit du choix explicite d’un pseudo peuple européen. Ainsi, le mode de découpage électoral en "super-régions" ne correspond à aucune réalité historique ou politique, en France tout du moins.

Enfin, l’Europe a montré ses limites, flagrantes, depuis le début de la crise économique et financière mondiale. En aucun cas, elle n’a contribuée à nous protéger. Bien au contraire, véritable cheval de Troie du libre échangisme, elle a favorisé la crise, la rendant encore plus douloureuse.

Au final, cette élection européenne semble profondément illégitime.
Elle ne concerne ni la France ni ses citoyens. Les gaullistes n’ont, par ailleurs, aucun intérêt à y participer eu égard à ce qui fut développé précédemment.
Cette élection n'intéresse finalement que le petit club des européistes et des eurobéats qui ont même aménagé le scrutin afin qu’il leur soit le plus profitable possible.

Pour toutes ces raisons, l’Union du Peuple Français a décidé d’appeler à un boycott actif des élections de juin prochain.

Il ne s’agira pas seulement de bouder ce scrutin mais plus largement de dissuader les Français, autant qu’il est possible légalement, d’aller voter pour cette Europe qui nuit gravement à la France et à ses intérêts. Il n’est pas question ici de contribuer à l'incivisme ou à la bonne santé politique du parti « des pécheurs à la ligne », mais de poser la seule alternative possible : pour ou contre l’Europe supranationale que l’on cherche à nous imposer.

Un boycott massif aura alors le même impact que le NON de 2005 contre la constitution européenne. Il sera à interpréter comme le rejet de toute entité destructrice des Nations et de leur identité.

Nous appelons donc à une grève du vote des Français pour signifier à ceux qui nous gouvernent qu’ils font fausse route. Nous ne supportons plus que cette élite méprise et ignore le peuple à ce point. Ils nous ignorent, ignorons les !
L’essentiel de nos forces ainsi préservées pour les élections nationales, celles-ci consacreront l’union la plus large possible de tous les patriotes pour construire et restaurer la France que nous voulons !

C'est pourquoi, nous, gaullistes, engageons dès à présent le boycott des élections du 7 juin 2009 et prendrons dans les tous prochains jours des initiatives pour faire de notre décision un moment fort de notre combat politique.

Vive la République et vive la France.

Vous êtes ri-di-cu-le !

Appelez à voter pour les listes gaullistes et républicaines de DLR,

*** Modéré - Inutile ***
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El Caganer




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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeSam 11 Avr 2009 - 14:05

18 Juin a écrit:
Vous êtes ri-di-cu-le !

Appelez à voter pour les listes gaullistes et républicaines de DLR,

*** Modéré - Inutile ***

Voter pour "Osons une Europe différente" ? non merci !

Il faut arrêter de prendre les Français pour des idiots, l'Europe n'est pas réformable.
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18 Juin




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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeSam 11 Avr 2009 - 19:36

El Caganer a écrit:
Voter pour "Osons une Europe différente" ? non merci !

Il faut arrêter de prendre les Français pour des idiots, l'Europe n'est pas réformable.

Tu as bien raison de ne pas voter pour les listes DLR.

Comme cela, les listes fédéralistes auront des tas de députés à Bruxelles. Et nous, souverainistes, aucun !

*** Christof. - La discussion se poursuit dans le sujet : L'alliance entre les souverainistes a-t-elle du plomb dans l’aile ? ***

-----------------------

Ajout du 15 Avril 2009 :

Mais vous devriez être contents, il est prévu que 66 % des européens s'abstiennent d'aller voter.

Vous allez pouvoir en faire une victoire personnelle ?
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El Caganer




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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeJeu 16 Avr 2009 - 13:17

18 Juin a écrit:
Mais vous devriez être contents, il est prévu que 66 % des européens s'abstiennent d'aller voter.

Vous allez pouvoir en faire une victoire personnelle ?

Une victoire personnelle, non, mais une défaite pour l'Europe de Bruxelles, oui... et ce n'est déjà pas si mal !

Maintenant, consolez-vous, votre slogan étant le même que celui de l'UMP, du PS, du MoDem ou du Front de Gauche, vous pourrez aussi avoir votre victoire personnelle en vous disant qu'au fond 90% des votants se sont prononcés pour cette "autre Europe" !
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18 Juin




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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeJeu 16 Avr 2009 - 19:28

El Caganer a écrit:
Une victoire personnelle, non, mais une défaite pour l'Europe de Bruxelles, oui... et ce n'est déjà pas si mal !

Maintenant, consolez-vous, votre slogan étant le même que celui de l'UMP, du PS, du MoDem ou du Front de Gauche, vous pourrez aussi avoir votre victoire personnelle en vous disant qu'au fond 90% des votants se sont prononcés pour cette "autre Europe" !

Qu'importe le slogan pourvu qu'on ait l'ivresse.

Et dans le cas de ces élections européennes, tous les fédéralistes pourront sortir le champagne avec leur 99% de députés.

Et vous serez, partiellement, responsables de nos échecs, gaullistes, républicains et souverainistes, vous qui vous en prétendez.
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El Caganer




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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeVen 17 Avr 2009 - 11:32

18 Juin a écrit:
Qu'importe le slogan pourvu qu'on ait l'ivresse.

Laughing Dans ce cas, allez défendre votre autre Europe chez les "gaullistes du renouveau" d'Alliot-Marie, là bas les réunions militantes avec les autres adhérents de l'UMP se font au champagne et aux petits fours... ambiance "jeunesse dorée-engagée" garantie !

Plus sérieusement, pour ma part, j'ai collé des affiches de nombreux mouvements, mais j'ai quand même toujours fait attention au contenu de l'affiche.

Citation :
Et vous serez, partiellement, responsables de nos échecs, gaullistes, républicains et souverainistes, vous qui vous en prétendez.

Dans la mesure où votre échec ne sera nullement celui du souverainisme mais celui d'un pseudo "euroréalisme" (Dupont-Aignan a d'ailleurs refusé la qualification même de " souverainiste" considérée comme ringarde et "ronchon"), ne comptez pas sur moi pour pleurer sur votre sort.
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Tomgu

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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeVen 17 Avr 2009 - 11:33

Christof. a écrit:
La situation étant celle qu'elle est, le moment est venu de vous faire connaître la position officielle de l'UPF, arrêtée lors de son dernier Conseil National, vis à vis des élections européennes :

Pourquoi nous avons décidé de boycotter l’Europe !


Il y a maintenant un peu plus d'un an, nous fûmes les premiers à appeler à l’union de tous les souverainistes et de tous les gaullistes en vue des élections européennes du mois de juin 2009.

L’occasion devait être saisie de partir rassemblés à la bataille électorale ; de faire entendre une voix forte et déterminée contre la politique européenne du président de la République et de son gouvernement ; de ranimer le refus de toute construction supranationale tel qu’il s’est fait entendre le 29 mai 2005 lors du référendum sur la constitution européenne.
Face aux dangers du renoncement et aux sirènes du mondialisme, le rassemblement de tous les patriotes attachés à l’indépendance nationale et à un modèle économique et social protecteur et participatif devait être encouragé.

Il fallait utiliser cette élection comme le porte-voix d’un souverainisme bien décidé à faire entendre sa différence. Il n’était pas question de faire croire aux électeurs que l’élection de députés européens français pourrait changer la face de l’Europe, ni d’encourager les ambitions de quelques uns ou d’assurer la carrière de sortants, mais seulement de faire passer un message de vigilance face aux remises en cause de la souveraineté nationale en rappelant aux gouvernants qu’il ne saurait être question de revenir sur l’expression d’un choix populaire.

Pour remporter la victoire et obtenir un succès manifeste, tel que celui acquis aux élections de 1999, la condition sine qua non était bien évidemment le rassemblement. Cette évidence se trouve renforcée par l’absence d’un ou de plusieurs leaders incontestés du souverainisme. Ces derniers sont aujourd’hui en marge ou en retrait de la vie politique nationale et aucun des représentants actuels ne peut se targuer d’avoir la carrure ou l’aura de ses glorieux aînés. Est-ce pour cela que la division règne aujourd’hui au sein de notre famille politique ? Force est de constater, et cela ne devrait vexer personne, qu’il n'y a plus d’Hommes d’Etat digne de ce nom dans nos rangs.

Le moins que l’on puisse dire est que les arrières pensées et les calculs égoïstes ont pollué l’ambiance de la précampagne électorale. Nous savons qu’aucune alliance n’est aujourd’hui plus possible entre les deux ou trois petits leaders qui ont la prétention de vouloir incarner notre camp. Trop de haines sous-jacentes, d’incompréhensions affichées, de sectarismes déplacés sont à l’œuvre. Les petits chefs du souverainisme ne nous aurons rien épargné durant cette période jusqu’aux manœuvres désespérées, dénonciations calomnieuses contre les alliés d’hier, coups de bluff sans lendemain et farce à la limite du grotesque.

Il convient dès lors de tirer les conclusions de cette situation si défavorable à notre famille politique et de l’image qu’elle renvoie auprès de l’opinion publique.

Il est primordial que nous cessions de faire plus longtemps l'étalage de nos faiblesses et divisions, ce qui nuit inéluctablement au formidable élan qui avait permis de rejeter la constitution européenne en 2005. Ce coup d’arrêt, bien réel, est encore présent dans tous les esprits et restera comme le symbole de l’attachement des Français à l’indépendance nationale. Il n'est pas acceptable qu’une déroute électorale vienne ternir un précédent à notre avantage et permette aux eurocrates de crier victoire. Lorsque c’est la France qui est en cause, nous ne saurions laisser quelques baladins et autres ludions parasiter le message de l’Europe des nations et de la souveraineté nationale. Ce serait offrir une revanche inespérée à une classe politique qui fut largement battue lors du référendum de 2005.

Par ailleurs, l’élection européenne a comme premier objet le renouvellement du Parlement européen. Or, cette institution, instrument de la supranationalité et de l’abaissement des Parlements nationaux, est pour nous entachée d’illégitimité et d'inefficacité.

Plus jusqu’au-boutiste que Bruxelles dans ses choix paneuropéens, le Parlement de Strasbourg est, depuis sa création, un ennemi déclaré des souverainetés et de l’indépendance des nations. Sa représentativité démocratique est quasi nulle, le système majoritaire n’y étant qu’embryonnaire et en aucun cas le fruit du choix explicite d’un pseudo peuple européen. Ainsi, le mode de découpage électoral en "super-régions" ne correspond à aucune réalité historique ou politique, en France tout du moins.

Enfin, l’Europe a montré ses limites, flagrantes, depuis le début de la crise économique et financière mondiale. En aucun cas, elle n’a contribuée à nous protéger. Bien au contraire, véritable cheval de Troie du libre échangisme, elle a favorisé la crise, la rendant encore plus douloureuse.

Au final, cette élection européenne semble profondément illégitime.
Elle ne concerne ni la France ni ses citoyens. Les gaullistes n’ont, par ailleurs, aucun intérêt à y participer eu égard à ce qui fut développé précédemment.
Cette élection n'intéresse finalement que le petit club des européistes et des eurobéats qui ont même aménagé le scrutin afin qu’il leur soit le plus profitable possible.

Pour toutes ces raisons, l’Union du Peuple Français a décidé d’appeler à un boycott actif des élections de juin prochain.

Il ne s’agira pas seulement de bouder ce scrutin mais plus largement de dissuader les Français, autant qu’il est possible légalement, d’aller voter pour cette Europe qui nuit gravement à la France et à ses intérêts. Il n’est pas question ici de contribuer à l'incivisme ou à la bonne santé politique du parti « des pécheurs à la ligne », mais de poser la seule alternative possible : pour ou contre l’Europe supranationale que l’on cherche à nous imposer.

Un boycott massif aura alors le même impact que le NON de 2005 contre la constitution européenne. Il sera à interpréter comme le rejet de toute entité destructrice des Nations et de leur identité.

Nous appelons donc à une grève du vote des Français pour signifier à ceux qui nous gouvernent qu’ils font fausse route. Nous ne supportons plus que cette élite méprise et ignore le peuple à ce point. Ils nous ignorent, ignorons les !
L’essentiel de nos forces ainsi préservées pour les élections nationales, celles-ci consacreront l’union la plus large possible de tous les patriotes pour construire et restaurer la France que nous voulons !

C'est pourquoi, nous, gaullistes, engageons dès à présent le boycott des élections du 7 juin 2009 et prendrons dans les tous prochains jours des initiatives pour faire de notre décision un moment fort de notre combat politique.

Vive la République et vive la France.

Bonjour, cela faisait un moment que je n'avais pas posté sur ce forum, bien que je vous ais lu pendant tout ce temps.

Je souhaite m'exprimer aujourd'hui afin de vous faire part de mon ressenti concernant votre stratégie pour les européennes.

Je dois vous avouer que je suis plutôt déçu par votre décision.

En effet, vous appelez au boycott afin de montrer votre opposition à l'Europe.
Néanmoins, en faisant cela vous permettez la victoire de l'UMP et du PS car l'abstention leur profitera. Par votre geste, vous ruinez les espoirs des "petites listes" d'obtenir quelques sièges.

Battez-vous, résistez au lieu de vous coucher !

*** Modéré - Hors sujet, cf. topic sur l'alliance entre les souverainistes a-t-elle du plomb dans l’aile ? ***

Cela n'est que mon avis, et il vaut ce qu'il vaut.
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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeVen 17 Avr 2009 - 12:56

Tomgu a écrit:
Battez-vous, résistez au lieu de vous coucher !

Se coucher ? effectivement, votre avis vaut ce qu'il vaut !

En quoi appeler au boycott est-il lâche ?

Plutôt que de "foncer dans le tas" et de rejoindre la foule de listes, dont certaines complètement abracadabrantesques, le boycott nous donne plus de chances d'émerger, de faire entendre une voix nouvelle !

Quel besoin avons-nous de cautionner, en y participant, un système que l'on dénonce ? Vous rêvez si vous pensez qu'un jour les députés européens souverainistes seront en position de force pour imposer "une autre Europe".

Le boycott, avec les risques que cela comporte (votre réaction en fait partie), c'est cela le vrai courage ! Etre capable de porter ses convictions (rejet de cette Europe) en actes (refus d'y participer). Voila la vraie force !
Une stratégie originale, et surtout LOGIQUE, qui nous démarque des autres mouvements, et qui est cohérente avec notre vision de l'Europe. Car comment allez-vous expliquer au français moyen que vous allez aux européennes alors que vous la critiquez à longueur de temps ?

Alors non, les responsables, ce ne sera pas nous, ce seront les autres mouvements qui auront préféré se concentrer sur les européennes plutôt que sur les problèmes des Français.
Le renouveau, la contestation doit venir du peuple, c'est à lui de se révolter, de dire NON à cette Europe, et les présidentielles sont pour cela le meilleur moyen. 1789 n'est pas venu de l'élite et de la classe politique : c'est venu du fond des campagnes.

C'est à la France de faire la France, pas à l'Europe ni aux députés européens.
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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeSam 18 Avr 2009 - 20:33

Sébastien a écrit:
Dans la lignée de la position officielle de l'UPF, voici un communiqué du Forum pour la France, dont, je le rappelle, sont membres Pierre Lefranc (ancien chef de cabinet du général de Gaulle) et Pierre Maillard (ancien conseiller diplomatique du général de Gaulle)

Citation :
Dans une Europe des nations, le seul Parlement acceptable doit être composé de délégations des Parlements nationaux, élus par les peuples et chargés de défendre, avant toute autre chose, l'intérêt de la nation.
Le FPF combat ce Parlement de Strasbourg – Une discussion s'est engagée sur abstention, blanc, ou nul – L'Amiral Gaucherand a déclaré, avec juste raison, que se déplacer pour voter était le signe d'une acceptation du Parlement actuel

Aller voter est un devoir, oui, pour décider de notre destin. Voter pour les affaires du machin européen, ne peut intéresser que des citoyens européens, nos concitoyens en général et les membres du FPF en particulier sont des citoyens de France. Il est donc conseillé, le jour de la Fête des Mères, d'aller honorer ses Parents, ou de recevoir chez soi, ses enfants dont le destin ne peut se jouer, dans les urnes, ce jour-là.

Henri Fouquereau
Secrétaire Général du Forum Pour la France

Excellent communiqué qui va encore plus loin que moi dans le boycott car je comptais tout de même me déplacer... mais pour bourrer l'enveloppe avec tous les bulletins de vote que j'aurais à portée de main.

De toutes manières, ils se valent tous.
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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeLun 20 Avr 2009 - 9:50

Christof. a écrit:
La situation étant celle qu'elle est, le moment est venu de vous faire connaître la position officielle de l'UPF, arrêtée lors de son dernier Conseil National, vis à vis des élections européennes :

Pourquoi nous avons décidé de boycotter l’Europe !


Il y a maintenant un peu plus d'un an, nous fûmes les premiers à appeler à l’union de tous les souverainistes et de tous les gaullistes en vue des élections européennes du mois de juin 2009.

L’occasion devait être saisie de partir rassemblés à la bataille électorale ; de faire entendre une voix forte et déterminée contre la politique européenne du président de la République et de son gouvernement ; de ranimer le refus de toute construction supranationale tel qu’il s’est fait entendre le 29 mai 2005 lors du référendum sur la constitution européenne.
Face aux dangers du renoncement et aux sirènes du mondialisme, le rassemblement de tous les patriotes attachés à l’indépendance nationale et à un modèle économique et social protecteur et participatif devait être encouragé.

Il fallait utiliser cette élection comme le porte-voix d’un souverainisme bien décidé à faire entendre sa différence. Il n’était pas question de faire croire aux électeurs que l’élection de députés européens français pourrait changer la face de l’Europe, ni d’encourager les ambitions de quelques uns ou d’assurer la carrière de sortants, mais seulement de faire passer un message de vigilance face aux remises en cause de la souveraineté nationale en rappelant aux gouvernants qu’il ne saurait être question de revenir sur l’expression d’un choix populaire.

Pour remporter la victoire et obtenir un succès manifeste, tel que celui acquis aux élections de 1999, la condition sine qua non était bien évidemment le rassemblement. Cette évidence se trouve renforcée par l’absence d’un ou de plusieurs leaders incontestés du souverainisme. Ces derniers sont aujourd’hui en marge ou en retrait de la vie politique nationale et aucun des représentants actuels ne peut se targuer d’avoir la carrure ou l’aura de ses glorieux aînés. Est-ce pour cela que la division règne aujourd’hui au sein de notre famille politique ? Force est de constater, et cela ne devrait vexer personne, qu’il n'y a plus d’Hommes d’Etat digne de ce nom dans nos rangs.

Le moins que l’on puisse dire est que les arrières pensées et les calculs égoïstes ont pollué l’ambiance de la précampagne électorale. Nous savons qu’aucune alliance n’est aujourd’hui plus possible entre les deux ou trois petits leaders qui ont la prétention de vouloir incarner notre camp. Trop de haines sous-jacentes, d’incompréhensions affichées, de sectarismes déplacés sont à l’œuvre. Les petits chefs du souverainisme ne nous aurons rien épargné durant cette période jusqu’aux manœuvres désespérées, dénonciations calomnieuses contre les alliés d’hier, coups de bluff sans lendemain et farce à la limite du grotesque.

Il convient dès lors de tirer les conclusions de cette situation si défavorable à notre famille politique et de l’image qu’elle renvoie auprès de l’opinion publique.

Il est primordial que nous cessions de faire plus longtemps l'étalage de nos faiblesses et divisions, ce qui nuit inéluctablement au formidable élan qui avait permis de rejeter la constitution européenne en 2005. Ce coup d’arrêt, bien réel, est encore présent dans tous les esprits et restera comme le symbole de l’attachement des Français à l’indépendance nationale. Il n'est pas acceptable qu’une déroute électorale vienne ternir un précédent à notre avantage et permette aux eurocrates de crier victoire. Lorsque c’est la France qui est en cause, nous ne saurions laisser quelques baladins et autres ludions parasiter le message de l’Europe des nations et de la souveraineté nationale. Ce serait offrir une revanche inespérée à une classe politique qui fut largement battue lors du référendum de 2005.

Par ailleurs, l’élection européenne a comme premier objet le renouvellement du Parlement européen. Or, cette institution, instrument de la supranationalité et de l’abaissement des Parlements nationaux, est pour nous entachée d’illégitimité et d'inefficacité.

Plus jusqu’au-boutiste que Bruxelles dans ses choix paneuropéens, le Parlement de Strasbourg est, depuis sa création, un ennemi déclaré des souverainetés et de l’indépendance des nations. Sa représentativité démocratique est quasi nulle, le système majoritaire n’y étant qu’embryonnaire et en aucun cas le fruit du choix explicite d’un pseudo peuple européen. Ainsi, le mode de découpage électoral en "super-régions" ne correspond à aucune réalité historique ou politique, en France tout du moins.

Enfin, l’Europe a montré ses limites, flagrantes, depuis le début de la crise économique et financière mondiale. En aucun cas, elle n’a contribuée à nous protéger. Bien au contraire, véritable cheval de Troie du libre échangisme, elle a favorisé la crise, la rendant encore plus douloureuse.

Au final, cette élection européenne semble profondément illégitime.
Elle ne concerne ni la France ni ses citoyens. Les gaullistes n’ont, par ailleurs, aucun intérêt à y participer eu égard à ce qui fut développé précédemment.
Cette élection n'intéresse finalement que le petit club des européistes et des eurobéats qui ont même aménagé le scrutin afin qu’il leur soit le plus profitable possible.

Pour toutes ces raisons, l’Union du Peuple Français a décidé d’appeler à un boycott actif des élections de juin prochain.

Il ne s’agira pas seulement de bouder ce scrutin mais plus largement de dissuader les Français, autant qu’il est possible légalement, d’aller voter pour cette Europe qui nuit gravement à la France et à ses intérêts. Il n’est pas question ici de contribuer à l'incivisme ou à la bonne santé politique du parti « des pécheurs à la ligne », mais de poser la seule alternative possible : pour ou contre l’Europe supranationale que l’on cherche à nous imposer.

Un boycott massif aura alors le même impact que le NON de 2005 contre la constitution européenne. Il sera à interpréter comme le rejet de toute entité destructrice des Nations et de leur identité.

Nous appelons donc à une grève du vote des Français pour signifier à ceux qui nous gouvernent qu’ils font fausse route. Nous ne supportons plus que cette élite méprise et ignore le peuple à ce point. Ils nous ignorent, ignorons les !
L’essentiel de nos forces ainsi préservées pour les élections nationales, celles-ci consacreront l’union la plus large possible de tous les patriotes pour construire et restaurer la France que nous voulons !

C'est pourquoi, nous, gaullistes, engageons dès à présent le boycott des élections du 7 juin 2009 et prendrons dans les tous prochains jours des initiatives pour faire de notre décision un moment fort de notre combat politique.

Vive la République et vive la France.

France Bonapartiste prend acte de la décision de l'UPF et ne peut que regretter cette prise de position...

En effet, l'on peut concevoir qu'être contre quelque chose peut nous amener à nous en désintéresser... nous, FB, avons choisi une voie différente.

La France risque de perdre une nouvelle bataille alors, plutôt que d'être loin du champ de bataille, nous préférons être dans les premières lignes quitte à prendre les premiers coups (de nos amis ou ennemis).
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MessageSujet: Un record et des leçons...   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeDim 7 Juin 2009 - 22:00

Voici ci-dessous, le communiqué officiel de l'UPF à l'occasion du résultat des élections européennes de ce dimanche 7 juin 2009 :

Citation :
Les élections européennes ont rendu leur verdict au terme d'une campagne sans passion qui a touché le fond lors d'une dernière altercation entre deux fédéralistes convaincus sur un plateau de télévision.

L'UNION du PEUPLE FRANCAIS et ses composantes (Rassemblement pour la France, Union Gaulliste, Initiative Gaulliste, Mouvement Démocrate Français) trouvent pourtant, nombre d'enseignements à tirer de ce scrutin qui restera celui des occasions ratées.

Il est d'une part, sans concession pour l'Europe telle qu'elle se construit et pour les partis europhiles qui dominent la classe politique française.

En effet, le record a été vite passé sous silence dans les médias mais les abstentionnistes sont les grands vainqueurs du jour (entre 59,5% et 60%) et c'est l'évidence même qu'ils n'ont pas entendu manifester par là leur soutien inconditionnel à l'Europe, bien au contraire.

En cela, ni récupération, ni satisfaction mais un simple constat de l'indifférence massive qui ne cesse de s'accentuer depuis 1979 à chaque élection européenne.

Ces résultats, ajoutés aux NON français et hollandais de 2005 et au refus irlandais du traité de Lisbonne l'an dernier, prouvent que cette Europe technocratique et burocratique est aujourd'hui illégitime.

Autant dire qu'il n'y a vraiment pas de quoi venir pavoiser devant les caméras de télévision, que l'UMP et Cohn-Bendit se le tiennent pour dit.

D'autre part, malgré l'extrême confusion qui a régné au sein des gaullistes et des souverainistes durant cette campagne, où les petites ambitions personnelles ont réduit à néant toute possibilité de faire entendre le message de mai 2005, ce scrutin a eu le mérite de prouver que l'unité pouvait se réaliser, en l'occurrence autour du boycott, et que l'avenir ne s'envisage pas autrement.

Aujourd'hui, tout est à reconstruire mais certainement pas avec les mêmes roitelets qui ont conduit notre famille politique dans l'impasse.

L'UPF et ses mouvements confédérés ont pris leurs responsabilités en refusant de cautionner un système qui broie les peuples et les Nations et en dénonçant les campagnes euroréalistes de ces responsables eurosceptiques en mal de reconnaissance.

Aujourd'hui, comme demain, elle entend poursuivre son impératif de vérité, de rigueur et de lisibilité au sein de cette famille gaulliste et républicaine laissée en jachère.

Parce qu'elle n'a jamais cessé d'oeuvrer pour le rassemblement, de condamner les petits calculs politiciens et les aventures individuelles, l'UPF prendra toute sa part dans l'entreprise de refondation de ce courant de pensée.
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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeLun 8 Juin 2009 - 15:38

L'UPF n'a donc pas participé à ces élections européennes, comme on pouvait le pressentir depuis quelques semaines.

A voir vos différentes réactions, je suppose que cela vient d'une impossibilité matérielle et, surtout, d'un manque cruel d'adhérents... l'appel au boycott étant un moyen de faire bonne figure.

Voila près d'une année que je me suis inscrit sur ce forum et je constate que l'UPF ne grandit pas et reste un groupuscule. Ma déception est grande car, d'après les discours des dirigeants, l'évolution se devait d'être rapide et devait se concrétiser par une première bataille électorale...

En conclusion, je vais donc cesser de passer sur ce forum (même si je ne participais pas, je suivais les débats sans me connecter) car le mouvement me semble en grand manque de vitesse !
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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitimeMar 9 Juin 2009 - 11:08

remy2 a écrit:
L'UPF n'a donc pas participé à ces élections européennes, comme on pouvait le pressentir depuis quelques semaines.

A voir vos différentes réactions, je suppose que cela vient d'une impossibilité matérielle et, surtout, d'un manque cruel d'adhérents... l'appel au boycott étant un moyen de faire bonne figure.

Voila près d'une année que je me suis inscrit sur ce forum et je constate que l'UPF ne grandit pas et reste un groupuscule. Ma déception est grande car, d'après les discours des dirigeants, l'évolution se devait d'être rapide et devait se concrétiser par une première bataille électorale...

En conclusion, je vais donc cesser de passer sur ce forum (même si je ne participais pas, je suivais les débats sans me connecter) car le mouvement me semble en grand manque de vitesse !

Pour ma part, j'ai boycotté les européennes par conviction, et j'ai défendu cette idée de boycott pour ce qu'elle est et ce qu'elle représente symboliquement, et non pas comme un moyen de masquer un manque d'adhérents ou de fonds.
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MessageSujet: Re: L'UPF et les européennes   L'UPF et les européennes - Page 4 Icon_minitime

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